Postbiotiques et SIBO : comment Thaenabiotic révolutionne le traitement des dysbioses intestinales

Le Thaenabiotic représente une innovation postbiotique majeure dans la prise en charge des dysbioses intestinales et du SIBO. Il est issu de microbiotes sains, inactivés mais conservant leurs métabolites actifs et composants biologiques. Contrairement aux probiotiques vivants, souvent inefficaces dans les terrains inflammatoires altérés, le Thaenabiotic agit sans risque infectieux et avec stabilité. Ses effets incluent la modulation immunitaire, le renforcement de la barrière intestinale, et une influence mesurable sur l’axe intestin-cerveau. Il reprend les bénéfices fonctionnels de la transplantation fécale sans les contraintes biologiques et éthiques. Des études cliniques préliminaires montrent une amélioration significative des symptômes digestifs et neuropsychiatriques. Il se distingue notamment comme adjuvant dans le traitement du SIBO en réduisant les rechutes post-antibiotiques. Sa standardisation permet une intégration pharmaceutique cohérente. Le Thaenabiotic initie ainsi une nouvelle approche régulatrice du microbiome, adaptée à la médecine de précision.
Anxiété et épuisement : le rôle caché du trauma précoce, du déficit en GABA et de la fragilité mitochondriale

Et si l’anxiété chronique et la fatigue persistante avaient une origine bien plus profonde qu’on ne l’imagine ? Derrière des symptômes épars – insomnie, épuisement, douleurs diffuses – se cache parfois une mécanique invisible façonnée dès l’enfance.
Lorsque l’enfant grandit dans un climat d’insécurité ou de stress, son système nerveux apprend à vivre dans l’alerte permanente. Cette hypervigilance, ancrée dans la biologie, ne disparaît pas avec le temps : elle reconfigure le cerveau et le corps.
Au cœur de ce phénomène, un trio silencieux agit en coulisses : un déficit en GABA, le neurotransmetteur qui sert de frein naturel au cerveau ; un excès de glutamate, qui suractive les circuits nerveux ; et des mitochondries fragilisées, incapables de fournir l’énergie nécessaire pour maintenir l’équilibre.
Le résultat ? Un cercle vicieux où stress, inflammation et épuisement se nourrissent mutuellement.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir. En réparant simultanément le système nerveux, la chimie cérébrale et l’énergie cellulaire, il devient possible de sortir de l’état d’alerte et de retrouver vitalité et sérénité.
Cet article vous emmène à la découverte d’un axe encore méconnu – Stress, GABA, Mitochondries – et ouvre la voie à une compréhension nouvelle de la résilience biologique.
Activer nos mitochondries par l’endurance, la force et la nutrition

En tant que médecin nutritionniste, je vois chaque semaine des femmes et des hommes convaincus que leur fatigue chronique vient d’un « manque de carburant » ou d’une « mauvaise thyroïde ». Parfois c’est vrai. Très souvent, c’est surtout un oubli : nous avons négligé l’organe le plus vaste et le plus modulable de notre corps, le muscle squelettique. Le muscle est un organe à part entière, déterminant pour la longévité, la composition corporelle et le métabolisme énergétique. Il abrite l’essentiel de nos mitochondries — ces usines bioénergétiques intracellulaires qui convertissent nos substrats (glucose, acides gras, corps cétoniques) en ATP, la monnaie énergétique universelle (1-3). Quand le muscle va bien, les mitochondries prospèrent. Quand il s’atrophie ou s’engraisse de l’intérieur, les mitochondries se grippent, avec à la clé insulinorésistance et baisse de la capacité oxydative (3,5,6). Et notre énergie, notre glycémie, notre immunité et notre cerveau en paient le prix.